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Son sourire arrête et fige le monde

un instant.
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THIS.


Je me demande combien de temps ça prendrait aux autres
de se rendre compte que je ne dis plus rien 


Alors on va danser, faire semblant d'être heureux, 
pour aller gentiment se coucher mais demain rien ira mieux.
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"Elle semblait emprisonnée dans sa tristesse."


J'sais pas, ce garçon, c'est bizarre. Il suffit que je le regarde pour que je sois heureuse. Il ne pose même pas les yeux sur moi pourtant, je me demande même si il sait que j'existe. Mais je sais pas, il a ce sourire, on voit toutes ses dents quand il rit, il a les cheveux dans tous les sens, il saute, il danse, il chante, il crie...  Je sais pas, il me rend peut-être heureuse parce qu'il me fait croire que ça existe, des gens qui sont vraiment en vie.




"L'important dans la vie n'est pas de respirer, mais d'avoir le souffle coupé." 


A la recherche du bonheur.



» Ils ne sont pas toujours d'accord, en fait ils ne sont jamais d'accord sur
rien, ils se bagarrent tout le temps et ils se testent mutuellement
Mais en dépit de leurs différences ils savent une chose
très importante en commun, ils sont
fous l'un de l'autre...





Certains disent qu'on reconnaît le grand amour
 lorsqu'on s'aperçoit que le seul être au monde
 qui pourrait vous consoler est justement celui
 qui vous a fait mal.



« Tu t'enfonces le doigt dans l'œil si tu crois que tu  m'es indispensable. On s'habitue à
                    l'absence, toujours. J'ai déjà pensé le contraire, mais c'est faux. Le temps prend le
                    dessus, le temps  efface  tout, absolument tout. La  douleur,  les déceptions. Alors
                    efface moi, et je t'effacerais,  je m'y  ferai,  on s'y  fera très  bien tous  les deux.»
          




On a souvent tendance à croire que le passé est le passé. Qu'on ne le reverra plus jamais. Comme s'il étais inscrit sur une ardoise magique et que l'on avais effacé. On croit aussi qu'avec les années, on a passé à la trappe ses erreurs de jeunesse, ses amours de pacotille, ses échecs, ses lâchetés, ses mensonges, ses petits arrangements, ses forfaitures.On se dit qu'on a bien tout balayé. Bien fait tout glisser sous le tapis.On se dit que le passé porte bien son nom: Passé. Passé de mode, passé d'actualité, dépassé,enterré. On a commencé une nouvelle page. Une nouvelle page qui porte le beau nom d'avenir. une vie qu'on revendique, dont on est fier, une vie qu'on a choisie. Alors que dans le passé, on ne choisissait pas toujours. On subissait, on étais influencé, on ne savait pas quoi penser, on se cherchait, on disait oui, on disait non, on disait le mot chiche sans savoir pourquoi. c'est pourquoi on a inventé le mot "passé": pour y glisser tout ce qui nous gênait, nous faisait rougir ou trembler.Et puis un jour, il revient.Il emboutit le présent.S'installe.Pollue.Et finit même par obscurcir le futur.. 

               








T'as toujours été là, dans un coin de ma tête et dans l'entièreté de mon cœur.

Pendant que tu négliges celle que tu aimesun autre lui parle. Pendant que tu oublies de lui dire qu'elle te manqueun autre souhaite la voir. Pendant que tu l'as fait espérerun autre la fait rêver. Et quand tu décides à y revenir, elle n'est plus la tienne mais la sienne. 



Elle, quand elle est à genoux c'est pour prier !



« C'est l'homme de ma vie. »
Cette expression m'a toujours impressionné. Je demeure fasciné par cette éloquence grandiose, cette stabilité énorme qui concerne la chose la plus imprévisible qui soit : l'amour.
Comment peut-on être certain que le présent prendra la forme du toujours ?





Mettre 3 heures à se décider à lui envoyer un message. Commencer à l'écrire, vérifier les virgules, les espaces entre chaque mot, revenir à la ligne. Essayer de ne pas trop écrire, parce que sinon on aura l'air collante. Mettre des smileys, mais pas trop. Essayer d'avoir l'air gentille, mais pas trop non plus. Choisir l'heure à laquelle on l'envoie, pour avoir le plus de chances possibles de recevoir une réponse. Pas trop tôt sinon il sera occupé. Pas trop tard non plus. Le relire plusieurs fois. L'envoyer. Au moment où on l'envoie, commencer à regretter. Recevoir l'accusé. Se dire qu'en ce moment, il lit le message, les mots qu'on a mis 3 heures à écrire. Regretter déjà les longues minutes d'attente qu'on va devoir vivre. Mettre son téléphone en silencieux, pour ne pas trop stresser, parce qu'on ne supporte plus d'attendre. Le mettre en vibreur pour l'entendre. Entendre son téléphone vibrer, courir pour lire le message et voir qu'en fait c'était un message de ton opérateur de merde. Attendre, attendre. Se faire des films, peut-être qu'il n'a pas de batterie, peut-être qu'il n'a pas de crédit.. ♥

C'était mieux comme ça, toi la-bas, moi ici. 
C'était plus simple comme ça, toi sans moi, moi sans toi. 



Une cigarette à la main et un verre d'alcool dans l'autre. Est-ce la solution pour oublier ? Certainement pas la meilleure. Mais s'en est une. Je me détruis les poumons et le foie, je le sais mais au pire, qu'est-ce que j'y perds ? J'ai déjà le cœur en miettes. Je sais aussi que ça n'arrangera rien mais pendant au moins quelques instants j'oublie, la douleur constante en moi disparait. C'est affreux d'être arrivée où j'en suis. De ne plus pouvoir me regarder dans le miroir, d'avoir peur de te croiser à chaque fois que je sors de chez moi, d'avoir peur de te voir avec elle ou même de sentir mes larmes coulées sur mes joues quand je vois un couple. C'est affreux d'être arrivée où j'en suis. Vraiment. † 




Je t'en supplie cesse de m'aimer, je ne suis plus digne de cet amour !




Je voudrais tout casser, tout envoyer en l’air.
Regarde-moi merde ! Regarde dans quel état je suis, dans quel état tu m'as mise
Regarde, s'il te plait, regarde. Juste une fois pour que tu comprennes que 
ce n'est pas de la souffrance qu'il y a en moi, c'est bien plus atroce que ça.
Je t’en prie ravale ta fausse fierté et ne prétends pas avoir des valeurs,
 t’en as pas, t’as rien. Les garçons comme toi ils n’ont rien.
Avant tu n’étais pas comme ça, 
je pensais avoir enfin trouvé la bonne personne, celle qui me 
pendrais pour ce que je suis et non pour ce qu’elle voudrait que je sois,
 mais visiblement, j’ai une fois de plus fais fausse route, encore une fois.
J’ose encore dire que j’attends qu’un jour tu te réveilles et que tu changes
Alors Adieu, laisse-moi, laisse-moi partir, je t’en supplie. 
Je peux plus, n’essaie pas de me retenir, j’en peux plus de toi, de nous, de tout. 
C’est fini, tout est fini. 





Les rêves nous apportent ce que la réalité nous refuse.






« - Je suis malheureuse si tu savais...
Et toi dis moi, es-tu heureuse, maintenant ?
- Je ne suis pas malheureuse. »




J'ai toujours souffert en silence et aider mes amies, mais un jour
 lorsque l'on me demandera si je vais bien et que je répondrais "oui"
 j'aimerais que mes meilleures amies me regarde dans les yeux et me disent ;

 " Dit nous la vérité, on te connais et on sait lorsque tu vas mal "





I LOVE BEING WITH YOU.



 Tu sais, cette chanson qui te serre la gorge ? Cette chanson que tu écoutais en boucle, dix fois, quinze fois de suite sans t'en fatiguer. Cette chanson qui passait dans la voiture sur le chemin des vacances, ou que tu écoutais sur ton Ipod en allant en cours. Cette chanson qui passait dans le bar où tu allais le samedi soir, ou qui passait à la radio vingt fois par jour. Cette chanson qui picote le coeur, qui fait remonter des souvenirs, qui te transporte dans la passé, à une certaine période de ta vie, et ces esquisses de sentiments délavés qui remontent à la surface parce que ces quelques notes te font repenser à des gens spéciaux et à ce que tu ressentais quand tu était avec eux. Cette chanson qui te brise le coeur et donne envie d'éclater de rire en même temps.





Ce soir j'ai pleurer à cause de lui, mais il c'est excuser. 
Le pire, c'est que je suis amoureuse.



 Il m'arrive encore de me demander si tu penses encore à moi.
Si tous nos souvenirs sont bien encrés en toi.
Il m'arrive encore de prier pour te voir débouler dans l'allée.
De prier pour revoir ton sourire s'illuminer à la vue de mes pas vers les tiens.
Il m'arrive encore de me demander si un jour, je finirais par t'oublier.


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Tu sais décidément pas t'y prendre, try again.







L'attachement est une absurdité, une incitation à la douleur.Les êtres s'attachent et deviennent dépendants
 les uns des autres, à tel point que lorsque l'un vient à partir,
 le monde s'écroule autour de l'autre...

« Maman, explique-moi pourquoi c'est dur. Pourquoi ça fait mal d'avoir perdu celui qu'on aime. 
Dis-moi, n'ais pas peur, ne me cache rien, je veux savoir si c'est normal de pleurer autant. 
D'avoir mal au coeur à en crever. 
Maman, est-ce que tu crois que ça va me passer, que je vais réussir à l'oublier?
 J'ai peur, aide-moi. S'il te plait, prend-moi dans tes bras maman,
 réconforte-moi, j'ai mal. »






Girl : I love you.
Boy : I love you too baby.
Girl : Prouve it. Scream it to the world
Boy : *whispers in her ear* i love you.
Girl : Why'd you say it to me ?
Boy : Because you're my world.
  

On me l'a tellement dit, de l'oublier. Mais, même si je l'avais voulu, je n'aurais pas pu. Il y a toujours quelque chose qui me ramènera vers lui. Une chanson, une odeur, un lieu, certaines paroles, certains gestes . C'est comme si, tout à coup, il apparaissait de nulle part. Et les souvenirs reviennent, même si c'est vrai, il n'y en a pas eu forcément beaucoup, surtout pour lui j'imagine. Mais j'ai tout gardé, moi. Je m'en souviens, moi . Alors, oui, peut-être que je possède une mémoire sélective, que je ne retiens que ce que je veux, mais ce sont des moments de bonheurs. J'aime replonger, creuser dans mon esprit pour les revivre. Certes, virtuellement. Mais ça me fais du mal, autant que de bien.  

    





Elle était différente, vivait dans son monde, "un monde magique" disait-elle. Elle rêvait de beaucoup de choses, mais surtout de rencontrer l'amour. Elle ne voulait pas croire aux rumeurs comme quoi cela faisait toujours souffrir, elle, elle voulait être optimiste sur ce sentiment si étrange. Elle rêvait de rencontrer un garçon qui puisse l'aimer comme elle est, différente et assez perchée, elle rêvait qu'il soit comme elle, qu'il aime courir dans les champs et regarder les étoiles. Elle adorait regarder des films où des jeunes tombaient amoureux, où ils se taquinaient, où ils faisaient des choses magiques, où ils se comprenaient juste avec un regard, sans aucune parole, juste la façon qu'ils avaient de se regardaient montrait à quel point ils s'aimaient. Elle adorait ces films car pour elle c'était réel, elle se disait qu'il devait bien exister quelqu'un d'aussi romantique, sinon comment est ce que cela pourrait se passer dans un film? Rien le réalisateur à bien dû en rêver. Elle aimait rêver. Rêver d'un monde meilleur, rêver naïvement de partir à la conquête du monde, traverser l'Alaska, ou bien le Pérou.Elle aimait collectionner les plumes, car la douceur et la légèreté lui faisait s'imaginer qu'elle pouvait voler si elle en avait suffisamment. L'été elle partait dans la forêt pour lire des pages et des pages, tremper ses pieds dans la rivière, pour toucher les arbres et sentir l'odeur de la nature. Elle vivait dans son monde.
Elle était seule, et au fond, elle souffrait.                  









On se crée une carapace pour échapper à tout ces rapaces qui ne chercher qu'à bouffer autrui. Pardonnez-moi de cette vulgarité, mais le monde est vulgaire. Toujours plus de perversité, toujours plus de méchanceté, de malhonnêteté, alors on essaie de se réfugier où l'on peut, tant que cela n'est pas pire que le monde qui nous entoure. On essaie de voir les choses d'un autre œil, on essaie de ne pas abandonner et d'agir comme on voudrait que le monde agisse. Mais il arrive des moments où notre carapace nous pousse à aller vers les problèmes, elle nous oblige à voir la vérité en face, à sortir  de notre monde, et c'est à ce moment là que nous nous apercevons que l'être humain ne vaut pas grand-chose. Nous somme parfois surpris de certaines paroles, de certaines opinions que des gens proches de nous on sur la vie, leur vie, notre vie ; on comprend donc pourquoi le monde va mal, alors on se réfugie de nouveau dans notre carapace et y compte bien y rester le temps qu'il faudra, car nous ne considérons pas que nous faisons parti de cette espèce animale.