On se crée une carapace pour échapper à tout ces rapaces qui ne chercher qu'à bouffer autrui. Pardonnez-moi de cette vulgarité, mais le monde est vulgaire. Toujours plus de perversité, toujours plus de méchanceté, de malhonnêteté, alors on essaie de se réfugier où l'on peut, tant que cela n'est pas pire que le monde qui nous entoure. On essaie de voir les choses d'un autre œil, on essaie de ne pas abandonner et d'agir comme on voudrait que le monde agisse. Mais il arrive des moments où notre carapace nous pousse à aller vers les problèmes, elle nous oblige à voir la vérité en face, à sortir  de notre monde, et c'est à ce moment là que nous nous apercevons que l'être humain ne vaut pas grand-chose. Nous somme parfois surpris de certaines paroles, de certaines opinions que des gens proches de nous on sur la vie, leur vie, notre vie ; on comprend donc pourquoi le monde va mal, alors on se réfugie de nouveau dans notre carapace et y compte bien y rester le temps qu'il faudra, car nous ne considérons pas que nous faisons parti de cette espèce animale.







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