« C'est l'homme de ma vie. »
Cette expression m'a toujours impressionné. Je demeure fasciné par cette éloquence grandiose, cette stabilité énorme qui concerne la chose la plus imprévisible qui soit : l'amour.
Comment peut-on être certain que le présent prendra la forme du toujours ?





Mettre 3 heures à se décider à lui envoyer un message. Commencer à l'écrire, vérifier les virgules, les espaces entre chaque mot, revenir à la ligne. Essayer de ne pas trop écrire, parce que sinon on aura l'air collante. Mettre des smileys, mais pas trop. Essayer d'avoir l'air gentille, mais pas trop non plus. Choisir l'heure à laquelle on l'envoie, pour avoir le plus de chances possibles de recevoir une réponse. Pas trop tôt sinon il sera occupé. Pas trop tard non plus. Le relire plusieurs fois. L'envoyer. Au moment où on l'envoie, commencer à regretter. Recevoir l'accusé. Se dire qu'en ce moment, il lit le message, les mots qu'on a mis 3 heures à écrire. Regretter déjà les longues minutes d'attente qu'on va devoir vivre. Mettre son téléphone en silencieux, pour ne pas trop stresser, parce qu'on ne supporte plus d'attendre. Le mettre en vibreur pour l'entendre. Entendre son téléphone vibrer, courir pour lire le message et voir qu'en fait c'était un message de ton opérateur de merde. Attendre, attendre. Se faire des films, peut-être qu'il n'a pas de batterie, peut-être qu'il n'a pas de crédit.. ♥

C'était mieux comme ça, toi la-bas, moi ici. 
C'était plus simple comme ça, toi sans moi, moi sans toi. 



Une cigarette à la main et un verre d'alcool dans l'autre. Est-ce la solution pour oublier ? Certainement pas la meilleure. Mais s'en est une. Je me détruis les poumons et le foie, je le sais mais au pire, qu'est-ce que j'y perds ? J'ai déjà le cœur en miettes. Je sais aussi que ça n'arrangera rien mais pendant au moins quelques instants j'oublie, la douleur constante en moi disparait. C'est affreux d'être arrivée où j'en suis. De ne plus pouvoir me regarder dans le miroir, d'avoir peur de te croiser à chaque fois que je sors de chez moi, d'avoir peur de te voir avec elle ou même de sentir mes larmes coulées sur mes joues quand je vois un couple. C'est affreux d'être arrivée où j'en suis. Vraiment. † 




Je t'en supplie cesse de m'aimer, je ne suis plus digne de cet amour !




Je voudrais tout casser, tout envoyer en l’air.
Regarde-moi merde ! Regarde dans quel état je suis, dans quel état tu m'as mise
Regarde, s'il te plait, regarde. Juste une fois pour que tu comprennes que 
ce n'est pas de la souffrance qu'il y a en moi, c'est bien plus atroce que ça.
Je t’en prie ravale ta fausse fierté et ne prétends pas avoir des valeurs,
 t’en as pas, t’as rien. Les garçons comme toi ils n’ont rien.
Avant tu n’étais pas comme ça, 
je pensais avoir enfin trouvé la bonne personne, celle qui me 
pendrais pour ce que je suis et non pour ce qu’elle voudrait que je sois,
 mais visiblement, j’ai une fois de plus fais fausse route, encore une fois.
J’ose encore dire que j’attends qu’un jour tu te réveilles et que tu changes
Alors Adieu, laisse-moi, laisse-moi partir, je t’en supplie. 
Je peux plus, n’essaie pas de me retenir, j’en peux plus de toi, de nous, de tout. 
C’est fini, tout est fini. 





Les rêves nous apportent ce que la réalité nous refuse.






« - Je suis malheureuse si tu savais...
Et toi dis moi, es-tu heureuse, maintenant ?
- Je ne suis pas malheureuse. »




J'ai toujours souffert en silence et aider mes amies, mais un jour
 lorsque l'on me demandera si je vais bien et que je répondrais "oui"
 j'aimerais que mes meilleures amies me regarde dans les yeux et me disent ;

 " Dit nous la vérité, on te connais et on sait lorsque tu vas mal "