I LOVE BEING WITH YOU.



 Tu sais, cette chanson qui te serre la gorge ? Cette chanson que tu écoutais en boucle, dix fois, quinze fois de suite sans t'en fatiguer. Cette chanson qui passait dans la voiture sur le chemin des vacances, ou que tu écoutais sur ton Ipod en allant en cours. Cette chanson qui passait dans le bar où tu allais le samedi soir, ou qui passait à la radio vingt fois par jour. Cette chanson qui picote le coeur, qui fait remonter des souvenirs, qui te transporte dans la passé, à une certaine période de ta vie, et ces esquisses de sentiments délavés qui remontent à la surface parce que ces quelques notes te font repenser à des gens spéciaux et à ce que tu ressentais quand tu était avec eux. Cette chanson qui te brise le coeur et donne envie d'éclater de rire en même temps.





Ce soir j'ai pleurer à cause de lui, mais il c'est excuser. 
Le pire, c'est que je suis amoureuse.



 Il m'arrive encore de me demander si tu penses encore à moi.
Si tous nos souvenirs sont bien encrés en toi.
Il m'arrive encore de prier pour te voir débouler dans l'allée.
De prier pour revoir ton sourire s'illuminer à la vue de mes pas vers les tiens.
Il m'arrive encore de me demander si un jour, je finirais par t'oublier.


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Tu sais décidément pas t'y prendre, try again.







L'attachement est une absurdité, une incitation à la douleur.Les êtres s'attachent et deviennent dépendants
 les uns des autres, à tel point que lorsque l'un vient à partir,
 le monde s'écroule autour de l'autre...

« Maman, explique-moi pourquoi c'est dur. Pourquoi ça fait mal d'avoir perdu celui qu'on aime. 
Dis-moi, n'ais pas peur, ne me cache rien, je veux savoir si c'est normal de pleurer autant. 
D'avoir mal au coeur à en crever. 
Maman, est-ce que tu crois que ça va me passer, que je vais réussir à l'oublier?
 J'ai peur, aide-moi. S'il te plait, prend-moi dans tes bras maman,
 réconforte-moi, j'ai mal. »






Girl : I love you.
Boy : I love you too baby.
Girl : Prouve it. Scream it to the world
Boy : *whispers in her ear* i love you.
Girl : Why'd you say it to me ?
Boy : Because you're my world.
  

On me l'a tellement dit, de l'oublier. Mais, même si je l'avais voulu, je n'aurais pas pu. Il y a toujours quelque chose qui me ramènera vers lui. Une chanson, une odeur, un lieu, certaines paroles, certains gestes . C'est comme si, tout à coup, il apparaissait de nulle part. Et les souvenirs reviennent, même si c'est vrai, il n'y en a pas eu forcément beaucoup, surtout pour lui j'imagine. Mais j'ai tout gardé, moi. Je m'en souviens, moi . Alors, oui, peut-être que je possède une mémoire sélective, que je ne retiens que ce que je veux, mais ce sont des moments de bonheurs. J'aime replonger, creuser dans mon esprit pour les revivre. Certes, virtuellement. Mais ça me fais du mal, autant que de bien.  

    





Elle était différente, vivait dans son monde, "un monde magique" disait-elle. Elle rêvait de beaucoup de choses, mais surtout de rencontrer l'amour. Elle ne voulait pas croire aux rumeurs comme quoi cela faisait toujours souffrir, elle, elle voulait être optimiste sur ce sentiment si étrange. Elle rêvait de rencontrer un garçon qui puisse l'aimer comme elle est, différente et assez perchée, elle rêvait qu'il soit comme elle, qu'il aime courir dans les champs et regarder les étoiles. Elle adorait regarder des films où des jeunes tombaient amoureux, où ils se taquinaient, où ils faisaient des choses magiques, où ils se comprenaient juste avec un regard, sans aucune parole, juste la façon qu'ils avaient de se regardaient montrait à quel point ils s'aimaient. Elle adorait ces films car pour elle c'était réel, elle se disait qu'il devait bien exister quelqu'un d'aussi romantique, sinon comment est ce que cela pourrait se passer dans un film? Rien le réalisateur à bien dû en rêver. Elle aimait rêver. Rêver d'un monde meilleur, rêver naïvement de partir à la conquête du monde, traverser l'Alaska, ou bien le Pérou.Elle aimait collectionner les plumes, car la douceur et la légèreté lui faisait s'imaginer qu'elle pouvait voler si elle en avait suffisamment. L'été elle partait dans la forêt pour lire des pages et des pages, tremper ses pieds dans la rivière, pour toucher les arbres et sentir l'odeur de la nature. Elle vivait dans son monde.
Elle était seule, et au fond, elle souffrait.                  









On se crée une carapace pour échapper à tout ces rapaces qui ne chercher qu'à bouffer autrui. Pardonnez-moi de cette vulgarité, mais le monde est vulgaire. Toujours plus de perversité, toujours plus de méchanceté, de malhonnêteté, alors on essaie de se réfugier où l'on peut, tant que cela n'est pas pire que le monde qui nous entoure. On essaie de voir les choses d'un autre œil, on essaie de ne pas abandonner et d'agir comme on voudrait que le monde agisse. Mais il arrive des moments où notre carapace nous pousse à aller vers les problèmes, elle nous oblige à voir la vérité en face, à sortir  de notre monde, et c'est à ce moment là que nous nous apercevons que l'être humain ne vaut pas grand-chose. Nous somme parfois surpris de certaines paroles, de certaines opinions que des gens proches de nous on sur la vie, leur vie, notre vie ; on comprend donc pourquoi le monde va mal, alors on se réfugie de nouveau dans notre carapace et y compte bien y rester le temps qu'il faudra, car nous ne considérons pas que nous faisons parti de cette espèce animale.